lundi 16 juillet 2018
Label villes et villages fleuris
Le label Villes et Villages Fleuris (VVF) existe depuis près de 60 ans. Pendant 40 ans, Il récompense les communes ayant un réalisé le plus beau fleurissement. Sous cette dénomination un peu désuète, le concours a beaucoup évolué au début des années 2000. Il laisse une place prépondérante à la façon d’aménager et de gérer les espaces. C’est projet global qui implique en plus des employés territoriaux et des élus, la population, les associations, les écoles…
Ce sont les services des espaces verts ou du tourisme des conseils départementaux qui animent le label. Toutes les communes peuvent participer. Au départ elles ne se voient pas attribuer de fleur, elles doivent d’abord remplir de nombreux critères qui dans les grandes lignes sont :
-la démarche de valorisation,
-l’animation, la sensibilisation et la promotion,
-la diversité du patrimoine végétal, son intégration au bâtit, la pertinence des plantations en fonction des espaces…
-la gestion environnementale : action en faveur de la biodiversité, des ressources naturelles et des espaces publics.
C’est une démarche globale de développement durable. Elle implique l’arrêt des pesticides, la gestion différenciée des pelouses et des haies, la gestion de l’eau (arrêt de l’utilisation de l’eau d’adduction), le broyage et la réutilisation des déchets verts… La maitrise de la publicité et des enseignes, la rénovation et l’entretien des façades, l’effacement des réseaux, l’intégration du mobilier, la qualité de voies de circulation et la propreté sont également des conditions à l’attribution des fleurs.
La démarche a des nombreux avantages. Tout d’abord, la commune reçoit une aide technique du CD. Ensuite, elle encourage le personnel, les élus et souvent la population à projeter vers l’avenir, à avoir des objectifs par la mise en place d’un plan de gestion mais aussi à réfléchir aux spécificités de sa commune et à ses atouts. La communication, l’animation et la sensibilisation aux questions environnementales locales sont essentielles dans la réussite du projet ainsi que la formation du personnel. En Dordogne, de nombreuses formations sont proposées aux employés territoriaux et parfois aux élus sur l’aménagement, la gestion des espaces verts et l’entretien des végétaux ainsi qu’un voyage d’étude tous les ans.
En ce moment, l’enherbement des cimetières est une préoccupation pour les élus et les agents. La majeure partie de la population n’est pas prête à voir des cimetières enherbés, cela donne l’image d’un lieu délaissé. Pourtant ces allées aseptisées existent depuis moins de 40 ans. Jusque dans les années 70, aucun désherbant n’était utilisé. Deux solutions : soit on laisse pousser toutes les plantes et on les arrache ou on les tond en attendant qu’une pelouse s’installe, soit on sème des graminées spécifiques résistantes à la sécheresse et au piétinement dans les allées égravillonnées ou stabilisées. En inter tombe, un semis de fleurs annuelles à faible développement a l’avantage de grainer et donc de réensemencer ces espaces tous les ans. Les plantes de rocaille sont également une alternative intéressante. Cependant, il ne faut pas se leurrer, l’arrêt des pesticides demande plus de travail d’entretien que le désherbage chimique. Une réorganisation du temps alloué à chaque espace de la commune doit être réfléchie par les services dans la concertation.
La commune de notre territoire à être labellisées 1 fleur est Varaignes. Un peu plus loin, Ligueux, Saint Jean de Cole, Brantôme et Saint Pierre de Frugie ont 2 fleurs. Les villes et villages participants mais pas encore labélisés sont : Augignac, Nontron, Saint Pardoux la Rivière, La Coquille, Thiviers, Mareuil en Périgord.
L’intérêt de la démarche est de bousculer les habitudes, de mettre en place une gestion différenciée des espaces publics, de réduire les coûts d’entretien mais également de réfléchir à l’identité de son territoire communal et de le rendre plus attractif.
Etienne Barteau, Augignac
Quelques sujets au conseil communautaire du 5 juillet 2018 à Saint-Martial-de-Valette
Tarifs eau et assainissement :
Les élus entendent et approuvent la longue, longue, longue liste des tarifs 2018 : pas de changement par rapport à 2017 si ce n’est l’augmentation de l’eau pour les habitants de Nontron et Saint-Martial précédemment desservis par leur syndicat d’eau local. D’ici 2020, tout le monde paiera le même tarif, au prix le plus élevé bien sûr.
Poteaux d’incendie :
Jusqu’à maintenant, les élus municipaux et les pompiers locaux faisaient une visite commune afin de vérifier annuellement le bon fonctionnement des 118 poteaux incendie du territoire: bon état de fonctionnement et débit assuré de 60m3/h pendant 2 heures. A partir d’aujourd’hui, le SDIS (Service Départemental d’Incendie et de Secours) peut continuer de rendre ce service….contre paiement. Autre possibilité : les élus communaux auront le choix de faire ces visites accompagnés par un technicien du service des eaux de la communauté de communes, ce même service ayant rapidement proposé son expertise…..mais à quel tarif ??
Finalement, une dépense de plus pour les communes.
Protection des données informatisées:
Confrontées au nouveau règlement européen sur la protection des données (le fameux RGPD) applicable au 25 mai 2018, les collectivités publiques, Communauté de communes, Communes, CIAS, doivent dorénavant désigner un « délégué » chargé de la bonne application de cette directive. Le département , au travers de son ATD (Agence Technique Départementale) propose aux collectivités publiques d’assurer ce service : pour les communes de notre communauté et pour la Communauté de communes, il en coûtera 12 000 euros annuellement. Tous les fichiers détenus devront être vérifiés, mis en conformité pour protéger les données personnelles des citoyens.
L’employé formé par la communauté de communes sur ce sujet depuis quelques mois va donc aller exercer ses nouvelles capacités au niveau départemental moyennant prise en charge salariale.
FPIC (Fond de Péréquation Intercommunal et Communal)
Il existe au niveau national une somme de 1 milliard d’euros prélevée sur les communes et communautés de communes "les plus riches" qui est redistribuée annuellement aux communes et communautés "les plus deshéritées". Notre territoire intercommunal recevra globalement à ce titre environ 480 000 € pour 2018. Les élus communautaires ont dû décider de la répartition entre Communauté de communes et Communes en privilégiant la Communauté de communes par rapport au choix de l’an dernier. La Cdc recevra 210 000 €, les communes se partageant les 270 000 € restants.
Entendu pendant cette séance :
Le président de la Cdc, Marcel Restoin : « Les commissions doivent travailler et faire des propositions ... » Un véritable projet de territoire reste à élaborer et à proposer aux citoyens . Rappelons que les commissions communautaires sont animées par des vice-présidents indemnisés à hauteur de 9 600 € par an.
Le maire de Javerlhac, J.P. Porte : « Je ne paierai pas.. ! » s’agissant d’une facture pour la remise en état et aux normes des installations sportives de Javerlhac que la CdC avait en charge jusqu’à maintenant et qu’elle veut redonner à la commune. Il semble que l’entretien et le respect des normes aient laissé à désirer pendant ces 13 dernières années !
Roland Maquaire, Champniers-et-Reilhac
La circulation de l'information dans la société du tout numérique
L'office de tourisme intercommunal publie chaque mois, depuis avril, un calendrier des animations. Ce calendrier est basé sur les informations reçues par les organisateurs. On peut le consulter en ligne et les personnes sur la liste de diffusion le reçoivent en pdf, on peut aussi l'avoir en « vrai » à l'office de tourisme de Nontron.
(16/07/18) Label villes et villages fleuris
Le label Villes et Villages Fleuris (VVF) existe depuis près de 60 ans. Pendant 40 ans, Il récompense les communes ayant un réalisé le plus beau fleurissement. Sous cette dénomination un peu désuète, le concours a beaucoup évolué au début des années 2000. Il laisse une place prépondérante à la façon d’aménager et de gérer les espaces. C’est projet global qui implique en plus des employés territoriaux et des élus, la population, les associations, les écoles…
Ce sont les services des espaces verts ou du tourisme des conseils départementaux qui animent le label. Toutes les communes peuvent participer. Au départ elles ne se voient pas attribuer de fleur, elles doivent d’abord remplir de nombreux critères qui dans les grandes lignes sont :
-la démarche de valorisation,
-l’animation, la sensibilisation et la promotion,
-la diversité du patrimoine végétal, son intégration au bâtit, la pertinence des plantations en fonction des espaces…
-la gestion environnementale : action en faveur de la biodiversité, des ressources naturelles et des espaces publics.
C’est une démarche globale de développement durable. Elle implique l’arrêt des pesticides, la gestion différenciée des pelouses et des haies, la gestion de l’eau (arrêt de l’utilisation de l’eau d’adduction), le broyage et la réutilisation des déchets verts… La maitrise de la publicité et des enseignes, la rénovation et l’entretien des façades, l’effacement des réseaux, l’intégration du mobilier, la qualité de voies de circulation et la propreté sont également des conditions à l’attribution des fleurs.
La démarche a des nombreux avantages. Tout d’abord, la commune reçoit une aide technique du CD. Ensuite, elle encourage le personnel, les élus et souvent la population à projeter vers l’avenir, à avoir des objectifs par la mise en place d’un plan de gestion mais aussi à réfléchir aux spécificités de sa commune et à ses atouts. La communication, l’animation et la sensibilisation aux questions environnementales locales sont essentielles dans la réussite du projet ainsi que la formation du personnel. En Dordogne, de nombreuses formations sont proposées aux employés territoriaux et parfois aux élus sur l’aménagement, la gestion des espaces verts et l’entretien des végétaux ainsi qu’un voyage d’étude tous les ans.
En ce moment, l’enherbement des cimetières est une préoccupation pour les élus et les agents. La majeure partie de la population n’est pas prête à voir des cimetières enherbés, cela donne l’image d’un lieu délaissé. Pourtant ces allées aseptisées existent depuis moins de 40 ans. Jusque dans les années 70, aucun désherbant n’était utilisé. Deux solutions : soit on laisse pousser toutes les plantes et on les arrache ou on les tond en attendant qu’une pelouse s’installe, soit on sème des graminées spécifiques résistantes à la sécheresse et au piétinement dans les allées égravillonnées ou stabilisées. En inter tombe, un semis de fleurs annuelles à faible développement a l’avantage de grainer et donc de réensemencer ces espaces tous les ans. Les plantes de rocaille sont également une alternative intéressante. Cependant, il ne faut pas se leurrer, l’arrêt des pesticides demande plus de travail d’entretien que le désherbage chimique. Une réorganisation du temps alloué à chaque espace de la commune doit être réfléchie par les services dans la concertation.
La commune de notre territoire à être labellisées 1 fleur est Varaignes. Un peu plus loin, Ligueux, Saint Jean de Cole, Brantôme et Saint Pierre de Frugie ont 2 fleurs. Les villes et villages participants mais pas encore labélisés sont : Augignac, Nontron, Saint Pardoux la Rivière, La Coquille, Thiviers, Mareuil en Périgord.
L’intérêt de la démarche est de bousculer les habitudes, de mettre en place une gestion différenciée des espaces publics, de réduire les coûts d’entretien mais également de réfléchir à l’identité de son territoire communal et de le rendre plus attractif.
Etienne Barteau, Augignac
Ce sont les services des espaces verts ou du tourisme des conseils départementaux qui animent le label. Toutes les communes peuvent participer. Au départ elles ne se voient pas attribuer de fleur, elles doivent d’abord remplir de nombreux critères qui dans les grandes lignes sont :
-la démarche de valorisation,
-l’animation, la sensibilisation et la promotion,
-la diversité du patrimoine végétal, son intégration au bâtit, la pertinence des plantations en fonction des espaces…
-la gestion environnementale : action en faveur de la biodiversité, des ressources naturelles et des espaces publics.
C’est une démarche globale de développement durable. Elle implique l’arrêt des pesticides, la gestion différenciée des pelouses et des haies, la gestion de l’eau (arrêt de l’utilisation de l’eau d’adduction), le broyage et la réutilisation des déchets verts… La maitrise de la publicité et des enseignes, la rénovation et l’entretien des façades, l’effacement des réseaux, l’intégration du mobilier, la qualité de voies de circulation et la propreté sont également des conditions à l’attribution des fleurs.
La démarche a des nombreux avantages. Tout d’abord, la commune reçoit une aide technique du CD. Ensuite, elle encourage le personnel, les élus et souvent la population à projeter vers l’avenir, à avoir des objectifs par la mise en place d’un plan de gestion mais aussi à réfléchir aux spécificités de sa commune et à ses atouts. La communication, l’animation et la sensibilisation aux questions environnementales locales sont essentielles dans la réussite du projet ainsi que la formation du personnel. En Dordogne, de nombreuses formations sont proposées aux employés territoriaux et parfois aux élus sur l’aménagement, la gestion des espaces verts et l’entretien des végétaux ainsi qu’un voyage d’étude tous les ans.
En ce moment, l’enherbement des cimetières est une préoccupation pour les élus et les agents. La majeure partie de la population n’est pas prête à voir des cimetières enherbés, cela donne l’image d’un lieu délaissé. Pourtant ces allées aseptisées existent depuis moins de 40 ans. Jusque dans les années 70, aucun désherbant n’était utilisé. Deux solutions : soit on laisse pousser toutes les plantes et on les arrache ou on les tond en attendant qu’une pelouse s’installe, soit on sème des graminées spécifiques résistantes à la sécheresse et au piétinement dans les allées égravillonnées ou stabilisées. En inter tombe, un semis de fleurs annuelles à faible développement a l’avantage de grainer et donc de réensemencer ces espaces tous les ans. Les plantes de rocaille sont également une alternative intéressante. Cependant, il ne faut pas se leurrer, l’arrêt des pesticides demande plus de travail d’entretien que le désherbage chimique. Une réorganisation du temps alloué à chaque espace de la commune doit être réfléchie par les services dans la concertation.
La commune de notre territoire à être labellisées 1 fleur est Varaignes. Un peu plus loin, Ligueux, Saint Jean de Cole, Brantôme et Saint Pierre de Frugie ont 2 fleurs. Les villes et villages participants mais pas encore labélisés sont : Augignac, Nontron, Saint Pardoux la Rivière, La Coquille, Thiviers, Mareuil en Périgord.
L’intérêt de la démarche est de bousculer les habitudes, de mettre en place une gestion différenciée des espaces publics, de réduire les coûts d’entretien mais également de réfléchir à l’identité de son territoire communal et de le rendre plus attractif.
Etienne Barteau, Augignac
vendredi 6 juillet 2018
Lettre ouverte à nos Conseillers départementaux du Périgord Vert Nontronnais
( par Jean Claude FRASNETTI - Chantres -Milhac de Nontron)
Madame la Conseillère, Monsieur le Conseiller,
Nous avons reçu le numéro 01 de votre « La Lettre de vos conseillers départementaux ».
Nous vous remercions de cette heureuse initiative qui fait, à mi-mandat, un point assez complet de l’action du Département, avec un focus spécifique et prépondérant sur notre canton. Belle présentation, format et support adaptés, quelques photos symboliques, et beaucoup de chiffres.
Et surtout une démonstration du poids et de l’étendue des missions assurées par le département, et donc de son rôle « incontournable » dans notre vie quotidienne.
Personnellement, je me suis particulièrement attardé sur la séquence « Le département de l’excellence départementale ». Les médisants diront que la photo choisie n’est peut-être pas la plus représentative de la biodiversité périgordine même si la présence d’Hubert Reeves est toujours un plaisir et un réconfort.
Dans ce chapitre vous listez toutes les actions dans laquelle le département est engagé et, le plus souvent, moteur et initiateur. Notamment la fameuse croisade « zéro pesticide » dont notre petit hameau a pu mesurer la « redoutable » efficacité. Il est incontestable que sur le plan environnemental le département, à travers ses services, dispose d’une réelle expertise pour affronter les difficultés d’une transition énergétique inéluctable alors, qu’au niveau national, il apparaît de plus en plus clairement que dans ce domaine la transition n’est pas qu’énergétique.
Par exemple, au plan des énergies renouvelables le Département, fort de la connaissance de ses potentialités a défini des orientations, jusqu’alors, assez claires. En adoptant, notamment, une motion explicitant le caractère inapproprié et importun de l’exploitation de l’énergie éolienne sur l’ensemble de son territoire.
Je me suis cependant longuement interrogé sur le sens de phrase : « Le Département peut aussi se saisir de questions locales qui peuvent conduire à des tensions locales, comme il l’a fait dans notre territoire avec l’organisation et l’animation d’une journée dédiée au débat sur les énergies renouvelables. »
L’adjectif « local », qui se fait écho, n’a sans doute pas été choisi au hasard et peut être interprété de plusieurs façons, en ce cas au moins deux :
-soit, il s’applique à la dimension géographique et organisationnelle de cette journée et à son centrage sur Nontron et le nontronnais, ce qui a été majoritairement le cas, même si l’ensemble du Périgord vert, et peut-être plus, était représenté, et auquel cas, ce sont plus précisément l’organisation et l’animation qui auraient dû être qualifiées de « locales »,
-soit, c’est le sujet, les énergies renouvelables, et plus particulièrement l’énergie éolienne point de focalisation, générateurs de questions et de tensions qui, par extension, est qualifié de local et dans ce cas il s’agit d’une appréhension très restrictive et erronée de cet important problème.
En effet, la transition énergétique, les énergies renouvelables, les questions qu’elles posent, les tensions qu’elles génèrent n’ont en aucune façon un caractère local. Le sujet et ses manifestations sont mondiaux, européens, nationaux, régionaux, intercommunaux, mais certainement pas locaux.
Et pour s’en tenir au seul problème éolien, ce qui devrait suffire, un projet d’implantation à Saint Pardoux ou à Nontron c’est plusieurs projets dans le nontronnais, puis dans le Périgord Vert, puis sur toute la Dordogne, y compris dans des environnements « protégés » naturellement ou politiquement. C’est une logique financière et industrielle à laquelle aucun département n’a pu et ne peut échapper.
Ce Département « incontournable », protecteur omniprésent, « solidaire envers ses habitants, qui vous accompagne près de chez vous », qui « peut aussi se saisir de questions locales qui peuvent conduire à des tensions locales » aura-t-il la force de résister à la pression tous azimuts, permanente et répétée des aménageurs ?
La première chose à faire c’est de repousser ces aménageurs le plus tôt possible, et surtout, avant que l’enquête publique ne soit lancée ! Car une fois lancée les recours seront judiciaires donc très onéreux et totalement aléatoires. C’est à dire que pour les projets encore à l’étude ou même déposés, mais pour lesquelles la mise à l’enquête n’a pas été décidée, il « suffit » que le conseil municipal « responsable » prenne une délibération d’opposition au projet.
Comment faire, le demander tout simplement aux maires concernés. Dans le nontronnais, pour le moment, cela ne concerne que deux personnes.
Rien de plus facile, le Département sait parfaitement faire ce « travail ». Je vais vous rappeler comment.
Je suis membre d’une toute petite association citoyenne qui s’intéresse au développement du territoire et à la conduite de la démocratie locale. Cette association, il y a un peu plus d’un an, avait décidé d’organiser un dîner-débat sur le développement des réseaux de communication numérique en invitant les techniciens opérant sur le département.
Quelques jours avant la tenue de cette animation nous avons reçu un courriel - même pas un courrier - signé d’une salariée diligente et zélée d’une autre association, disons sous « dominance » départementale, rédigé en ces termes :
Bonjour,
Le Conseil départemental et Périgord Numérique sont en train de faire le tour des communautés de communes pour les tenir au courant de l’état des lieux de l’accès numérique du territoire.
…
En concertation avec le syndicat Périgord numérique et dans l’attente que ces réunions prioritaires aient eu lieu, la rencontre qui était prévue avec vos adhérents est reportée.
Cordialement,
Vous voyez, rien de plus simple, nous pouvons même vous proposer un modèle inspiré de cette délicate « invitation à circuler, à haut débit, évidemment ».
Cher collègue et néanmoins ami,
Le Conseil départemental a adopté à l’unanimité une motion refusant les implantations éoliennes industrielles sur son territoire.
Il y a plusieurs années déjà tu as envisagé, sans doute dans l’espoir d’améliorer les recettes de ta commune, mais peut-être un peu trop rapidement, d’accueillir un investisseur éolien.
Ayant depuis pris la mesure de tous les inconvénients, risques, oppositions, dégradations environnementales et paysagères … pour ta commune, mais aussi pour l’ensemble de notre territoire, qu’entrainerait la poursuite de cette aventure, tu comprendras qu’il est devenu sage d’y renoncer. Et ceci dans l’intérêt de tous.
Aussi, je te demande, en concertation et en accord avec l’ensemble de nos conseillers départementaux, et au titre de notre longue amitié, de renoncer rapidement à ce projet en prenant au plus tôt une délibération en ce sens.
Cher ami et néanmoins collègue, nous te remercions.
Voyez comme il est simple de mettre en cohérence ses paroles et ses actes, ses convictions et ses actions.
Ainsi vous offrirez une porte de sortie honorable à deux personnes égarées, et vous libérerez des centaines d’habitants qui, depuis plusieurs années déjà, vivent dans la crainte permanente de voir leur projet de vie à jamais anéanti.
Recevez, Madame la Conseillère, Monsieur le Conseiller, mes salutations les plus respectueuses.
Jean Claude FRASNETTI - Chantres -Milhac de Nontron
Madame la Conseillère, Monsieur le Conseiller,
Nous avons reçu le numéro 01 de votre « La Lettre de vos conseillers départementaux ».
Nous vous remercions de cette heureuse initiative qui fait, à mi-mandat, un point assez complet de l’action du Département, avec un focus spécifique et prépondérant sur notre canton. Belle présentation, format et support adaptés, quelques photos symboliques, et beaucoup de chiffres.
Et surtout une démonstration du poids et de l’étendue des missions assurées par le département, et donc de son rôle « incontournable » dans notre vie quotidienne.
Personnellement, je me suis particulièrement attardé sur la séquence « Le département de l’excellence départementale ». Les médisants diront que la photo choisie n’est peut-être pas la plus représentative de la biodiversité périgordine même si la présence d’Hubert Reeves est toujours un plaisir et un réconfort.
Dans ce chapitre vous listez toutes les actions dans laquelle le département est engagé et, le plus souvent, moteur et initiateur. Notamment la fameuse croisade « zéro pesticide » dont notre petit hameau a pu mesurer la « redoutable » efficacité. Il est incontestable que sur le plan environnemental le département, à travers ses services, dispose d’une réelle expertise pour affronter les difficultés d’une transition énergétique inéluctable alors, qu’au niveau national, il apparaît de plus en plus clairement que dans ce domaine la transition n’est pas qu’énergétique.
Par exemple, au plan des énergies renouvelables le Département, fort de la connaissance de ses potentialités a défini des orientations, jusqu’alors, assez claires. En adoptant, notamment, une motion explicitant le caractère inapproprié et importun de l’exploitation de l’énergie éolienne sur l’ensemble de son territoire.
Je me suis cependant longuement interrogé sur le sens de phrase : « Le Département peut aussi se saisir de questions locales qui peuvent conduire à des tensions locales, comme il l’a fait dans notre territoire avec l’organisation et l’animation d’une journée dédiée au débat sur les énergies renouvelables. »
L’adjectif « local », qui se fait écho, n’a sans doute pas été choisi au hasard et peut être interprété de plusieurs façons, en ce cas au moins deux :
-soit, il s’applique à la dimension géographique et organisationnelle de cette journée et à son centrage sur Nontron et le nontronnais, ce qui a été majoritairement le cas, même si l’ensemble du Périgord vert, et peut-être plus, était représenté, et auquel cas, ce sont plus précisément l’organisation et l’animation qui auraient dû être qualifiées de « locales »,
-soit, c’est le sujet, les énergies renouvelables, et plus particulièrement l’énergie éolienne point de focalisation, générateurs de questions et de tensions qui, par extension, est qualifié de local et dans ce cas il s’agit d’une appréhension très restrictive et erronée de cet important problème.
En effet, la transition énergétique, les énergies renouvelables, les questions qu’elles posent, les tensions qu’elles génèrent n’ont en aucune façon un caractère local. Le sujet et ses manifestations sont mondiaux, européens, nationaux, régionaux, intercommunaux, mais certainement pas locaux.
Et pour s’en tenir au seul problème éolien, ce qui devrait suffire, un projet d’implantation à Saint Pardoux ou à Nontron c’est plusieurs projets dans le nontronnais, puis dans le Périgord Vert, puis sur toute la Dordogne, y compris dans des environnements « protégés » naturellement ou politiquement. C’est une logique financière et industrielle à laquelle aucun département n’a pu et ne peut échapper.
Ce Département « incontournable », protecteur omniprésent, « solidaire envers ses habitants, qui vous accompagne près de chez vous », qui « peut aussi se saisir de questions locales qui peuvent conduire à des tensions locales » aura-t-il la force de résister à la pression tous azimuts, permanente et répétée des aménageurs ?
La première chose à faire c’est de repousser ces aménageurs le plus tôt possible, et surtout, avant que l’enquête publique ne soit lancée ! Car une fois lancée les recours seront judiciaires donc très onéreux et totalement aléatoires. C’est à dire que pour les projets encore à l’étude ou même déposés, mais pour lesquelles la mise à l’enquête n’a pas été décidée, il « suffit » que le conseil municipal « responsable » prenne une délibération d’opposition au projet.
Comment faire, le demander tout simplement aux maires concernés. Dans le nontronnais, pour le moment, cela ne concerne que deux personnes.
Rien de plus facile, le Département sait parfaitement faire ce « travail ». Je vais vous rappeler comment.
Je suis membre d’une toute petite association citoyenne qui s’intéresse au développement du territoire et à la conduite de la démocratie locale. Cette association, il y a un peu plus d’un an, avait décidé d’organiser un dîner-débat sur le développement des réseaux de communication numérique en invitant les techniciens opérant sur le département.
Quelques jours avant la tenue de cette animation nous avons reçu un courriel - même pas un courrier - signé d’une salariée diligente et zélée d’une autre association, disons sous « dominance » départementale, rédigé en ces termes :
Bonjour,
Le Conseil départemental et Périgord Numérique sont en train de faire le tour des communautés de communes pour les tenir au courant de l’état des lieux de l’accès numérique du territoire.
…
En concertation avec le syndicat Périgord numérique et dans l’attente que ces réunions prioritaires aient eu lieu, la rencontre qui était prévue avec vos adhérents est reportée.
Cordialement,
Vous voyez, rien de plus simple, nous pouvons même vous proposer un modèle inspiré de cette délicate « invitation à circuler, à haut débit, évidemment ».
Cher collègue et néanmoins ami,
Le Conseil départemental a adopté à l’unanimité une motion refusant les implantations éoliennes industrielles sur son territoire.
Il y a plusieurs années déjà tu as envisagé, sans doute dans l’espoir d’améliorer les recettes de ta commune, mais peut-être un peu trop rapidement, d’accueillir un investisseur éolien.
Ayant depuis pris la mesure de tous les inconvénients, risques, oppositions, dégradations environnementales et paysagères … pour ta commune, mais aussi pour l’ensemble de notre territoire, qu’entrainerait la poursuite de cette aventure, tu comprendras qu’il est devenu sage d’y renoncer. Et ceci dans l’intérêt de tous.
Aussi, je te demande, en concertation et en accord avec l’ensemble de nos conseillers départementaux, et au titre de notre longue amitié, de renoncer rapidement à ce projet en prenant au plus tôt une délibération en ce sens.
Cher ami et néanmoins collègue, nous te remercions.
Voyez comme il est simple de mettre en cohérence ses paroles et ses actes, ses convictions et ses actions.
Ainsi vous offrirez une porte de sortie honorable à deux personnes égarées, et vous libérerez des centaines d’habitants qui, depuis plusieurs années déjà, vivent dans la crainte permanente de voir leur projet de vie à jamais anéanti.
Recevez, Madame la Conseillère, Monsieur le Conseiller, mes salutations les plus respectueuses.
Jean Claude FRASNETTI - Chantres -Milhac de Nontron
Assemblée générale du Conseil de Développement durable du Périgord Vert.
Chers adhérents et amis du CDD,
Avez-vous prévu de venir l'Assemblée Générale du Conseil de Développement Durable du Périgord Vert, jeudi prochain 12 juillet 2018 à 18 h à la salle des fêtes de Bourdeilles.
Vous y êtes invité(e) parce que vous êtes adhérent(e) de notre Association, ou que vous vous intéressez aux actions qui nous mobilisent: Journées de découverte, Festival des énergies, Culture et territoire, Communes nouvelles, Envie d'entreprendre, Mobilités, Rencontres photographiques, Circuits courts, Prospective territoriale, Conférences citoyennes, etc.
Parce que nous avons pris le parti d'une totale autonomie dans nos initiatives et nos partenariats, parce qu'elle marquera les premiers pas d'une évolution historique de notre projet associatif, notre Assemblée générale 2018 ne sera pas comme les autres.
Votre participation personnelle est encore plus importante que d'habitude parce que nous avons besoin de nous serrer les coudes autour d'une volonté commune de changement.
Pour le CDD, bien cordialement, Alain Dionneau.
-Ordre du jour
• 18h–19h : Rapport moral, rapport d’activités, rapport financier, questions / réponses et votes.
• 19h–19h30 : Débat et vote sur l’adhésion du CDD Périgord Vert à l’association Pays Périgord Vert.
• 19h30–20h : Rapport d’orientations, questions / réponses et vote.
• 20h – 20h30 : Election du Conseil d’Administration (mandats à renouveler et candidatures d’adhérents cooptés par le Bureau ou ayant au moins un an d’ancienneté dans l’association CDD
Périgord Vert). Validation de la nouvelle domiciliation du CDD Périgord Vert.
A partir de 20h30, clôture de l’Assemblée Générale par un buffet payant, gourmand et convivial, avec places assises, ouvert aux adhérents et invités du CDD Périgord Vert
-Inscription au repas (13€/pers):cdd.perigordvert@gmail.com
-Bulletin d'adhésion à imprimer
La discrète suppression des sous-préfectures
(par Patricia Huret Champniers et Reilhac)
Avez-vous remarqué la nouvelle appellation sur le fronton de notre sous-préfecture nontronnaise… ?
" Maison de l’État". Oh ! Quel joli nom !
Comme vous n’êtes pas de ceux qui, très naïfs, croient qu’un changement de nom est anodin, motivé par un choix esthétique, allons voir de plus près !
Un projet qui date :
En 2012, la Cour des comptes s’inquiète d’un coût des sous-préfectures estimé à 250 millions d’euros par an et d’implantations « souvent disproportionnées, inadaptées et coûteuses ». Elle demande régulièrement à l'Etat d’adapter la présence de l'Etat à l'heure du numérique. Les sous-préfectures perdent un cinquième de leurs effectifs en dix ans.
La refonte de la carte des 240 sous-préfectures faisait partie des projets de Manuel Valls lorsqu’il était ministre de l’Intérieur (2012/2014). « Il y a des sous-préfectures qui ne sont pas utiles », « Je n’ai jamais caché qu’il nous faudrait fermer des sous-préfectures » affirmait-il déjà en mars 2013.
Le projet est abandonné (reporté) face à une levée de boucliers des syndicats et des élus locaux, très attachés à leurs sous-préfectures.
Devenu Premier ministre (2014/2016), Manuel Valls enterre un rapport de 120 pages qui préconisait de fermer 47 sous-préfectures, soit une sur cinq (fermetures incluant la suppression de 660 postes).
En 2015, un nouveau rapport préconise de fermer certaines sous-préfectures et de les remplacer par des « Maisons de l’État ».
Bernard Cazeneuve, devenu ministre de l’intérieur, demande aux préfets « de réfléchir avec les élus à une nouvelle carte des services d'ici à 2017. L'idée est d'aboutir à des jumelages ou à des regroupements avec d'autres administrations sur le terrain. »
Ouverture d’une Maison de l’Etat
La suppression d’une sous-préfecture et l’ouverture de la Maison de l’État dans les mêmes locaux que la sous-préfecture passe facilement inaperçue.
En théorie, les maisons de l’Etat (MdE) permettent un accès aux services publics d’Etat via une mutualisation des locaux et privilégie l’appui aux collectivités avec quelques guichets pour les usagers.
Mutualisation des locaux et des moyens...mais avec quels services ?
C’est très variable selon les départements.
Par exemple, à Romorantin-Lanthenay, dans le Loir et Cher, la Maison de l’État regroupe la sous-préfecture, un Point d’accès au droit (PAD), les services départementaux de l’Éducation nationale de la circonscription (IDEN), la PJJ (Protection judiciaire de la jeunesse), et l’ONCF (Office national de la chasse et de la faune sauvage).
Et sur l’ensemble du territoire français :
-95% des Maisons de l’Etat accueillent une sous-préfecture, 86% une UT-DDT(M), les services des IEN (23%)
-Les UDDRAC 32%), les défenseurs des droits (27%) et les DDPP (23%), sont aussi les services les plus impliqués dans les Maisons de l’État...mais uniquement pour y tenir des permanences.
D’autres services peuvent participer aux Maisons de l’Etat: CIO, ONF, Centre des finances publiques, SPIP, PJJ, Point d’accès au droit, UD-DIRECCTE, UD-DREAL, Douanes, Pôle emploi, mission locale, CPAM, CAF, UDAF, ...
(http://www.fo-prefectures.com/documents/1766-1-pdf-maisons-de-l-etat.html)
Ce qu’on peut lire sur le site du Ministère de l’Intérieur (3 mai 2016)
https://www.interieur.gouv.fr/Publications/Nos-infographies/Administration-territoriale-services-aux-usagers/Les-maisons-de-l-Etat#fermer
« Créées dans le cadre de la loi NOTRe, les Maisons de l’État permettent une rationalisation et une meilleure visibilité de la présence de l’État dans des territoires ruraux, urbains ou périurbains, reposant sur le principe de mutualisation des locaux et de certaines fonctions support.
Toutes dans le même esprit mais pas sur le même modèle, c'est l'analyse des besoins et des attentes des usagers locaux qui permet au préfet du département de déterminer la meilleure configuration.
Les maisons de l’État sont généralement créées dans les locaux des sous-préfectures, le maillage par arrondissements permettant une proximité plus étroite avec les usagers. Elle représente une véritable avancée pour ces derniers qui trouvent différents services de l’État au même endroit et bénéficient généralement d'un accès facilité à Internet, leur permettant ainsi d'effectuer bon nombre de démarches avec un gain de temps certain. »
Inauguration de la Maison de l’État à Nontron.
Photo Jacques Hesault (Sud Ouest)
Le 11 avril 2018, Anne-Gaëlle Baudouin-Clerc, préfète de la Dordogne, a coupé le ruban avant de présenter les missions de la Maison de l’État à Nontron. Elle a évoqué l’action publique 2022 (?) et l’objectif de « se recentrer sur les missions prioritaires « ainsi que « « la mutualisation des moyens ». Concernant Nontron, elle a précisé que le regroupement des services de l’État concerne la DDT, un Point d’accès au droit (PAD) sur rendez-vous, un espace numérique ainsi qu’un « élargissement des possibilités grâce à la visio-conférence ».
Retrouvez son discours sur :
https://www.youtube.com/watch?v=3eMnuvQUKjw&t=406s
Au total, 17 personnes travaillent dans la Maison de l’État nontronnaise.
Elle est ouverte au public du lundi au vendredi, de 9 à 12 heures (avec possibilité de rendez-vous l’après-midi).
Pour mémoire, la sous-préfecture de Nontron était ouverte du lundi au vendredi de 8 h 30 à 12 h 30 et de 13 h 30 à 17 h.
Galères pour l’usager.
Bien entendu, la diminution des horaires est liée à la diminution des services rendus aux citoyens.
Par exemple, les demandes de carte grise se font désormais par internet. Pas toujours simple. Surtout si vous n’avez pas une bonne connexion.
Depuis novembre 2017, les démarches pour obtenir la carte grise de votre véhicule ou pour la délivrance de votre permis de conduire se font uniquement en ligne sur un site spécialisé. Les services proposés avant en préfecture ou en sous-préfecture n’existent plus.
De nombreux bugs informatiques ont retardé la délivrance des documents à l’usager, quelquefois dans des conditions ubuesques.
Cela a donné des idées à certains sites frauduleux. Ainsi peut-on lire cette mise en garde sur le site de la mairie de Nontron : « Toutefois, les consommateurs doivent donc rester vigilants face à certains sites commerciaux qui font tout pour tromper le consommateur et prendre l'apparence d'un site officiel (copie du design des sites officiels, usage du drapeau bleu-blanc-rouge, référence à des ministères, arrivée en tête des moteurs de recherche). »( * )
Comment cela se passe-t-il ailleurs ?
C’est très variable là aussi !
En Dordogne, une 2ème Maison de l’État devrait ouvrir cet été à Sarlat.
En Haute-Vienne, il n’y a plus qu’un sous-préfet pour 2 arrondissements : Rochechouart (37 878 habitants) et Bellac (39 532 habitants).
Mais, dans son discours inaugural, Madame la Préfète nous a assurés que notre sous-préfet, Monsieur Frédéric Roussel « était tout à nous »…
Pour combien de temps ?
( * ) Si vous avez fait récemment des démarches pour obtenir un document, n’hésitez pas à nous envoyer votre témoignage
Assemblée générale du Conseil de Développement durable du Périgord Vert.
Chers adhérents et amis du CDD,
Avez-vous prévu de venir l'Assemblée Générale du Conseil de Développement Durable du Périgord Vert, jeudi prochain 12 juillet 2018 à 18 h à la salle des fêtes de Bourdeilles.
Vous y êtes invité(e) parce que vous êtes adhérent(e) de notre Association, ou que vous vous intéressez aux actions qui nous mobilisent: Journées de découverte, Festival des énergies, Culture et territoire, Communes nouvelles, Envie d'entreprendre, Mobilités, Rencontres photographiques, Circuits courts, Prospective territoriale, Conférences citoyennes, etc.
Parce que nous avons pris le parti d'une totale autonomie dans nos initiatives et nos partenariats, parce qu'elle marquera les premiers pas d'une évolution historique de notre projet associatif, notre Assemblée générale 2018 ne sera pas comme les autres.
Votre participation personnelle est encore plus importante que d'habitude parce que nous avons besoin de nous serrer les coudes autour d'une volonté commune de changement.
Pour le CDD, bien cordialement, Alain Dionneau.
-Ordre du jour
• 18h–19h : Rapport moral, rapport d’activités, rapport financier, questions / réponses et votes.
• 19h–19h30 : Débat et vote sur l’adhésion du CDD Périgord Vert à l’association Pays Périgord Vert.
• 19h30–20h : Rapport d’orientations, questions / réponses et vote.
• 20h – 20h30 : Election du Conseil d’Administration (mandats à renouveler et candidatures d’adhérents cooptés par le Bureau ou ayant au moins un an d’ancienneté dans l’association CDD
Périgord Vert). Validation de la nouvelle domiciliation du CDD Périgord Vert.
A partir de 20h30, clôture de l’Assemblée Générale par un buffet payant, gourmand et convivial, avec places assises, ouvert aux adhérents et invités du CDD Périgord Vert
-Inscription au repas (13€/pers):cdd.perigordvert@gmail.com
-Bulletin d'adhésion à imprimer
P.U.L.L pour Projet Utile Laïc et Local et Vert en rappel à Périgord Vert.
(06/07/18) Projet de création d’un café associatif à St Estèphe
L’association PULL au Vert est née !
Cette association est née dans le but de créer un café associatif (lieu de partage, de convivialité) à St Estèphe (24).
Nous sommes 14 membres fondateurs. Nous avons rencontré le Conseil municipal de St Estèphe qui a fait une demande de subventions afin de faire des travaux d'isolation et de chauffage dans le bar-restaurant près de la salle des associations de St Estèphe (en face du cimetière).
Si les subventions arrivent et si les travaux se déroulent comme prévus, les locaux seront prêts fin 2018.
Un pique-nique partagé ainsi qu’une après-midi festive (jeux/animations/concerts) est prévue le Dimanche 16 septembre 2018 si le temps le permet devant le futur local du café.
En attendant, afin de faire connaître notre projet nous participerons au vide-greniers organisé par le Comité des fêtes qui a lieu le :
Dimanche 8 juillet 2018 à St Estèphe (au stade)
N’hésitez pas à venir faire un tour au vide-greniers et passer à notre emplacement pour nous rencontrer !
L’association PULL au Vert est née !
Cette association est née dans le but de créer un café associatif (lieu de partage, de convivialité) à St Estèphe (24).
Nous sommes 14 membres fondateurs. Nous avons rencontré le Conseil municipal de St Estèphe qui a fait une demande de subventions afin de faire des travaux d'isolation et de chauffage dans le bar-restaurant près de la salle des associations de St Estèphe (en face du cimetière).
Si les subventions arrivent et si les travaux se déroulent comme prévus, les locaux seront prêts fin 2018.
Un pique-nique partagé ainsi qu’une après-midi festive (jeux/animations/concerts) est prévue le Dimanche 16 septembre 2018 si le temps le permet devant le futur local du café.
En attendant, afin de faire connaître notre projet nous participerons au vide-greniers organisé par le Comité des fêtes qui a lieu le :
Dimanche 8 juillet 2018 à St Estèphe (au stade)
N’hésitez pas à venir faire un tour au vide-greniers et passer à notre emplacement pour nous rencontrer !
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